Le Canon EOS 5D Mark II en configuration vidéo

J’ai commencé à faire des petits tests de mon Canon 5D Mark II fraîchement arrivé. Cet appareil photo m’apporte des sensibilités très élevées, comme le Nikon D3 et le Nikon D700. Je vais enfin pouvoir vraiment figer des actions quand je fais des photos de concerts. Le 5D Mark II me permet aussi d’accéder à une faible profondeur de champ en vidéo HD 1080p. En effet, cet appareil est le premier reflex à proposer ce type de mode vidéo. Grâce à son capteur 24/36 et à des objectifs lumineux, on obtient assez facilement une faible profondeur de champ… Un rêve enfin accessible en vidéo !

Pour des vidéos sans prétention (par exemple les vacances), le micro interne du 5D Mark II suffira. Et pour des vidéos plus exigeantes (notamment dans le cadre de RendezVousCreation.org), je brancherai un micro externe (Sony ECM-MS907), une torche à LED (Litepanels Micro LPMICRO), le tout sur un stabilisateur (StaLiCam).
Voici une photo de l’ensemble (prise avec mon iPhone, sans éclairage supplémentaire, ce qui a nécessité un petit passage par Photoshop…) :

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Voir aussi : le récapitulatif.

Finalement, je choisis l’iPhone 3G plutôt que d’attendre

En août, j’avais fait un point sur mon parcours en téléphonie mobile en attendant la disponibilité de l’iPhone 3G. J’avais laissé passer le premier modèle parce qu’il ne proposait pas de fonction d’enregistrement vidéo en standard. Quand l’iPhone 3G est arrivé avec son interface toujours plus séduisante, mais aussi une solution prometteuse de synchronisation en continu (via MobileMe ou un serveur Exchange) et une plate-forme de téléchargement d’application (App Store), j’ai été très intéressé. Mais, je ne l’ai pas acheté car : il n’y avait aucun outil d’enregistrement vidéo sur l’App Store, MobileMe ne fonctionnait pas correctement, la 3G posait des problèmes d’accrochage et Orange la bridait.

Depuis, les choses ont bougé : MobileMe s’est refait une santé, la 3G est plus stable et Orange l’a débridée. Par contre, on ne peut toujours pas accéder à l’enregistrement vidéo en passant par l’App Store. Par ailleurs, j’ai toujours des besoins qui ne sont pas couverts de manière satisfaisante par mon Nokia E61i (avec lequel j’ai toujours quelques soucis), principalement (en plus de la synchronisation en continu et de l’accès à une plate-forme de téléchargement d’applications) : intégrer davantage les services de Google, proposer des services basés sur une puce GPS et remplacer mon iPod. Alors, j’ai décidé de ne pas attendre et j’ai finalement choisi l’iPhone 3G. 

Je l’utilise depuis quelques jours. Cela a été l’occasion de revoir tout mon environnement de travail, avec un objectif précis : ne plus devoir gérer de multiples synchronisations. Je pars d’un environnement très Web et très Google : Gmail, Google Calendar, Google Docs, Google Reader, etc. C’est souvent très pratique, mais un certain nombre de limites se manifestent de façon claire dans le cas d’une utilisation intensive : navigateur surchargé, synchronisations parfois trop lourdes (iSync + Spanning Sync + Nokia Multimedia Transfer + FoneLink), travail hors ligne pas toujours possible et sauvegardes parfois compliquées.

Alors, je suis arrivé à un cahier des charges assez ambitieux au premier abord :
  • conservation de mes données sur Gmail et Google Calendar ;
  • synchronisation en continu des contacts, calendriers, notes, fils RSS et signets ;
  • accès complet via le Web ;
  • accès complet via des applications pour Mac OS X (notamment hors ligne) ;
  • accès complet via des applications pour l’iPhone (notamment hors ligne).

La bonne nouvelle, c’est qu’après quelques tests, je suis rapidement arrivé à une solution qui me convient :
  • pour les e-mails : Gmail sur le Web, Mail sous Mac OS X et sur l’iPhone (en envoyant bien avec mon adresse @utc.fr et non @gmail.com, en gérant correctement l’archivage et la suppression, mais avec une gestion moins pratique des conversations que sur Gmail.com) ;
  • pour les contacts : Gmail sur le Web, Carnet d’adresses sous Mac OS X (synchronisation en continu par cette application) et Contacts sur l’iPhone (synchronisation en continu grâce à Nuevasync) ;
  • pour les calendriers : Google Calendar sur le Web, iCal sous Mac OS X (synchronisation en continu après la configuration de cette application pour chaque calendrier) et Calendrier sur l’iPhone (synchronisation en continu grâce à Nuevasync, mais pas de distinction entre les calendriers) ;
  • pour les notes : Evernote sur le Web, sous Mac OS X et sur l’iPhone (synchronisation en continu par cette application) ;
  • pour les fils RSS : Newsgator sur le Web, NetNewsWire sous Mac OS X et sur l’iPhone (synchronisation en continu par cette application) ;
  • il y a aussi MobileMe qui synchronise en continu mes signets.

Suite à mes tests et après avoir refait le tour de mes usages actuels d’un téléphone, je peux lister les points négatifs suivants :
  • l’autonomie de la batterie de l’iPhone 3G est tout à fait insufissante (j’ai commandé une batterie externe) ;
  • on ne peut toujours pas utiliser l’iPhone 3G comme modem ;
  • il n’existe toujours pas d’outil d’enregistrement vidéo sur l’App Store ;
  • l’iPhone ne sait toujours pas envoyer de MMS ;
  • je n’ai pas trouvé sur l’App Store d’application gratuite pour les itinéraires dans le métro parisien (en attendant, je vais utiliser la version Web mobile de MetrO que j’utilisais sur mon Nokia E61i : i-MetrO).

Je sais en outre qu’un Nokia peut tomber mille fois par terre… Par contre, un iPhone… En tout cas, voici une liste de points positifs (toujours par rapport à mon utilisation du Nokia E61i) :
  • prise en main agréable et aspect visuel élégant ;
  • interface splendide, rapide, simple et efficace ;
  • synchronisation en continu (j’apprécie beaucoup ce confort d’utilisation qui fait gagner du temps et évite les mauvaises surprises de désynchronisation des données) ;
  • plate-forme de téléchargement d’application (avec gestion des mises à jour) ;
  • nombreuses applications disponibles ;
  • iPod complet (mon sac se voit donc soulagé d’un petit boîtier blanc) ;
  • GPS.

Aujourd’hui, je positionne déjà le bilan nettement du côté positif. Et j’espère naturellement que les points négatifs vont s’effacer avec le temps. Avoir attendu quelques mois m’a permis d’éviter les problèmes du lancement et de constater que le premier téléphone utilisant le système de Google (Android) ne proposait pas non plus d’enregistrement vidéo en standard. Je vois bien que le contrôle d’Apple correspond à une politique fortement liée aux relations avec les opérateurs et à la qualité globale de l’offre. Mais, je suis clairement intéressé par l’approche plus ouverte de Google. Donc, je n’exclus pas d’étudier de près un prochain téléphone sous Android s’il permet d’enregistrer de la vidéo. L’intégration des services Google y serait plus fine, mais d’autres questions prendraient le relais comme la synchronisation avec iTunes. En attendant, je ferai des vidéos avec mon appareil photo, en espérant que cette fonction ne tarde pas trop sur l’iPhone, tout comme Flash…

Voici l’une de mes premières photos prises (par erreur…) avec l’iPhone :

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Parcours en photo numérique

Mon exemplaire du Canon EOS 5D Mark II est commandé depuis longtemps… Alors en attendant la livraison dans quelques semaines, voici un petit tour des appareils photo numériques que j’ai utilisés jusqu’alors. Je vais suivre la même approche que pour mon parcours en téléphonie mobile. C’est-à-dire : une liste avec quelques souvenirs. Cette fois-ci, je vais aussi préciser le contexte quand il s’agira d’appareils que je n’ai pas gardés (en général pour des tests de deux semaines).

 

De 1990 à 2000 :
  • appareil photo d’environ 1 m³ que j’avais construit au tout début des années 90 à partir d’une caméra de surveillance, d’une carte d’acquisition (DGI-1+), d’un PC, d’un pilote que j’avais développé en assembleur et d’un logiciel de pilotage (les photos faisaient 256 sur 255 pixels en 64 niveaux de gris) ;
  • Apple QuickTake 150 (utilisé pour un travail sur la ville de Noyon, si simple mais aussi tellement limité) ;
  • Fujifilm MX-500 (un rendu très correct pour un compact numérique de cette époque).

 

De 2000 à 2004 (pour des tests) :

  • Reflex :
    • Canon EOS-1Ds (11 MP sur un capteur 24/36 dans un boîtier exemplaire en 2002, mais une ergonomie un peu dure et un prix énorme),
    • Fujifilm FinePix S2 Pro (attirant sur le papier, j’ai été déçu par plusieurs problèmes de rendu),
    • Olympus E10 (visée reflex, mais objectif non interchangeable, rendu correct, mais appareil trop lent),
    • Sigma SD9 (une netteté impressionnante, mais peu de pixels, des problèmes de rendus, un autofocus trop limité, etc.) ;
  • Bridges :
    • Nikon CoolPix 5700 (rendu agréable et gros zoom, mais autofocus trop lent et autonomie beaucoup trop faible),
    • Sony DSC-F707 (boîtier solide et grande autonomie, mais quelques problèmes de rendu),
    • Sony DSC-F717 (rendu en progrès, mais toujours pas de format RAW) ;
  • Compacts :
    • Canon PowerShot A60 (une affaire, mais un boîtier trop fragile),
    • Canon PowerShot A95 (une affaire plus solide, donc une très bonne affaire),
    • Canon PowerShot G2 (prometteur, mais rendu brouillon),
    • Canon PowerShot G3 (un excellent compact pour l’époque, permettant même le RAW),
    • Casio QV4000 (pas cher, mais rendu trop mou et trop bruité),
    • Olympus C-3020 Zoom (rendu propre, mais réglages trop limités),
    • Olympus C-5050 Zoom (complet avec même le RAW, mais boîtier trop lent et rendu trop marqué) ;
  • Ultracompact :
    • Digital Dream Espion Xtra (mauvaise qualité générale, un gadget).

 

De 2000 à 2004 (pour mon propre usage) :

  • Nikon D100 (c’était pour moi la redécouverte du reflex en 2002, le D100 a été un fantastique compagnon de route, juste trop lent en RAW) ;
  • Sony CyberShot DSC-U10 (un ultracompact qui m’a été très utile avant que les téléphones n’intègrent la photo).

 

Depuis 2005 (pour des tests) :
  • Canon 350D (un rapport qualité/prix impressionnant) ;
  • Canon 400D (encore très à l’aise aujourd’hui) ;
  • Nikon D50 (solide et pas cher, permet encore de travailler en RAW à 6 MP) ;
  • Nikon D80 (sérieux, toujours très pertinent) ;
  • Nikon D200 (un appareil à la construction splendide que je n’ai pas acheté, au profit du 5D).
Depuis 2005 (pour mon propre usage) :
  • Canon EOS 5D (je l’avais choisi pour son grand capteur, sa faible profondeur de champ, ses hautes sensibilités, sa dynamique, je n’ai pas été déçu et le 5D va continuer à m’accompagner, comme second boîtier).

Bientôt :

  • Canon EOS 5D Mark II (j’ai hâte de tester ses hautes sensibilités et son mode vidéo).

 

Mise à jour (août 2009) : j’utilise donc maintenant un Canon EOS 5D Mark II et j’ai par ailleurs testé les Canon EOS 1000D et 500D dont j’ai acheté des exemplaires pour mes étudiants.
Mise à jour (2010) : le Canon EOS 550D m’accompagnera comme second appareil pour la vidéo.
Mise à jour (2012) : le Canon EOS 5D Mark III devient mon appareil principal.

 

Voici une photo que j’ai prise avec un Apple QuickTake 150 datant de 1995 à l’occasion d’un travail sur la ville de Noyon :
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Canon EOS 5D Mark II : le choix évident pour moi

Mes usages d’un appareil photo numérique m’avaient conduit, en 2005, à préférer le Canon EOS 5D au Nikon D200. Son capteur 24 sur 36 mm a beaucoup compté dans ce choix. Ayant eu avant un Nikon D100, j’aurais pu passer au D200 pour garder mes objectifs. Mais la qualité des images du 5D à 1 600 ISO correspondait à mes besoins, en particulier pour les photos de concerts. Les possibilités du 5D en terme de profondeur de champ me conduisaient aussi vers cet appareil.

Récemment, Nikon a sorti un reflex numérique équipé d’un capteur 24 sur 36 mm, le Nikon D700. J’aurais donc pu revenir vers Nikon. Mais… D’une part, j’ai maintenant de très bons objectifs pour les reflex Canon. Et d’autre part, la sortie du successeur du 5D semblait imminente. Effectivement, le Canon EOS 5D Mark II a été annoncé aujourd’hui. Ce sera mon prochain appareil photo. Je développe un peu le sujet sur NouvelleProduction.net :
Le Nikon D100 a été mon appareil principal pendant trois ans : de 2003 à 2005. Le Canon EOS 5D l’aura aussi été : de 2005 à 2008. D’où cette question : vais-je garder le Canon EOS 5D Mark II comme appareil principal jusqu’en 2010 ?…
Voici une photo du Canon EOS 5D :

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Voir aussi : le récapitulatif.

Malgré les nouveaux stocks d’iPhone 3G, je ne l’achète pas

J’aime beaucoup le concept de l’iPhone. Je n’avais pas acheté le premier modèle, surtout parce qu’il ne proposait pas de fonction d’enregistrement vidéo en standard. Quand l’iPhone 3G est arrivé, j’ai été surpris de voir que cette fonction ne faisait pas partie de sa fiche technique. Mais, j’avais tout de même décidé de l’acheter. En effet, la synchronisation en continu avec le service MobileMe m’intéressait particulièrement. Un autre argument en faveur de l’iPhone : la possibilité (enfin) d’installer des applications tierces via l’App Store.

Je n’étais pas pressé, car les premiers retours sur la version 2.0 du programme interne de l’iPhone, sortie avec le modèle 3G, mettaient en évidence certains soucis justifiant d’attendre un peu. Par ailleurs, la déclinaison 16 Go en noir a très rapidement été en rupture de stock. Aujourd’hui, l’iPhone 16 Go est à nouveau disponible en noir et plusieurs problèmes ont été corrigés. Pourtant, je ne l’achète pas. Et ce, principalement pour les quatre raisons suivantes :
  1. Les outils permettant d’enregistrer de la vidéo ne sont pas accessibles via l’App Store, ils nécessitent un iPhone modifié pour être installés. De plus, la qualité fournie est vraiment trop faible.
  2. Le service MobileMe ne fonctionne toujours pas correctement pour moi (voir l’illustration ci-dessous). Et comme j’utilise plutôt les services de Google, je préférerais une synchronisation directe de ce côté-là.
  3. J’ai lu trop de témoignages négatifs sur la gestion de la 3G par l’iPhone 3G. On parle souvent de difficultés d’accrochage.
  4. Orange se moque vraiment du monde en parlant d’illimité alors que le débit ne correspond pas à ce que permet la 3G+ et qu’il est aussi question d’un quota mensuel de téléchargement. L’interdiction de faire de la voix sur IP me dérange aussi, tout comme l’interdiction d’utiliser l’iPhone comme modem.

Résultat : je garde mon téléphone actuel, un Nokia E61i, et je porte mon attention encore un peu plus sur les futurs téléphones qui seront équipés du système de Google (Android). 

Voici une copie d’écran du message d’erreur de MobileMe quand je lui demande d’afficher mes calendriers :

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Impressions sur le téléviseur Philips 47PFL5603H

Je profite de la HD dans mon salon depuis pas mal de temps, mais via un moniteur Apple Cinema Display dont la diagonale est loin d’atteindre les grandes tailles des téléviseurs actuels. Alors, j’ai voulu profiter de la victoire des disques Blu-ray sur le HD DVD et de l’arrivée d’un nouveau modèle de PlayStation 3 fin août pour renouveler mon équipement. Tout a bien commencé puisque mes critères de choix m’ont conduit vers un seul modèle (en tout cas chez mon fournisseur).

Les critères étaient :
  • 1080p ;
  • écran mat ;
  • pied pivotant ;
  • tuner TNT HD ;
  • temps de réponse rapide ;
  • taille supérieure ou égale à 46″ ;
  • rapport qualité/prix bien noté dans la presse.

Et je n’avais pas besoin des caractéristiques suivantes :
  • entrée VGA ;
  • finesse extrême ;
  • disque dur intégré ;
  • système Ambilight ;
  • technologie 100 Hz.

Cela m’a conduit directement au Philips 47PFL5603H. Et voici mes impressions après quelques heures de test… 

L’aspect visuel est agréable. En particulier : on ne voit pas les enceintes (que je n’utilise pas). La télécommande a l’avantage d’être assez petite et simple, mais elle doit vraiment viser son capteur pour que le téléviseur s’exécute. Les menus sont efficaces : on y trouve assez rapidement ce que l’on cherche. Après avoir désactivé de nombreuses options d’affichage (surtout l’accentuation de la netteté), l’image est splendide. Par contre, il faut être plutôt en face. Si l’on est un peu sur le côté, on pourra profiter du pied pivotant pour finalement se retrouver vraiment en face. En tout cas, l’aspect mat de l’écran atténue les reflets de manière tout à fait convaincante. En faisant les branchements, je tombe sur une sortie SPDIF (donc le son numérique). Bonne surprise : je m’empresse de la brancher sur mon ampli. Je vois aussi une prise USB. Elle devrait m’être utile quand quelqu’un passe à la maison avec une carte mémoire pleine de photos à visionner rapidement.

En attendant, je branche sur le téléviseur un Mac portable en HDMI grâce à un câble DVI/HDMI, un récepteur satellite et une PlayStation 2 grâce à des prises Péritel et un camescope en HDMI. J’attrape une cassette HDV et j’appuie sur la touche de lecture… Les premiers pas de ma fille comme je ne les avais jamais vus… La taille de l’écran y est pour beaucoup : les détails prennent vie, servis par une luminosité, un contraste et des couleurs qui montrent clairement leur présence. J’enchaîne avec l’une de mes captations de concerts… Ah, ce soir-là, quel bel éclairage… Je bascule vers le Mac et je lui fais diffuser un film en 1 920 sur 800 pixels : tout juste impeccable ! Pour les signaux vidéo parvenant au téléviseur par les prises Péritel, il faut quand même que je me recule légèrement de l’écran puisque là, on est en SD (576 lignes maximum). Là encore, je suis impressionné. L’image est propre, à mon goût (donc après avoir désactivé pas mal de choses).

Dans l’idée de pousser le test un peu plus loin, je branche ma sonde de calibration et j’obtiens un profil de couleurs intéressant : le résultat est moins contrasté, mais les couleurs sont très proches. Je baisserai donc le contraste plus tard. Je termine par la mise à jour via une clé USB et un ordinateur connecté à Internet. La manœuvre est simple. Mais malheureusement, le téléviseur ne détecte pas les fichiers de mise à jour. J’essayerai à nouveau plus tard…

Le bilan est donc très positif dans l’ensemble. Le Philips 47PFL5603H répond tout à fait à mes besoins actuels et ceux à venir dans un futur proche (jouer à la PS3 et à la Wii pas seulement chez des amis et visionner des disques Blu-ray). Par ailleurs, ses quelques inconvénients sont mineurs pour moi. Alors, si vos besoins sont similaires et que vous cherchez aussi un téléviseurs, n’hésitez pas !

Mise à jour : j’ai essayé à nouveau d’appliquer la mise à jour et cette fois-ci, c’est passé. Cela règle un problème important : la désactivation du contraste dynamique n’était pas pris en compte. Maintenant, sans contraste dynamique, le rendu de l’image est stable et le téléviseur correspond vraiment à ce que cherchais.

Et voici une petite photo de la base de ce téléviseur Philips 47PFL5603H :

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Parcours en téléphonie mobile depuis 1998

En attendant la disponibilité de l’iPhone 3G, j’ai fait un petit compte… J’ai commencé à m’équiper en téléphonie mobile en 1998, date de mon premier contrat de travail à durée indéterminée. Lorsque que j’aurai acheté l’iPhone 3G, ça fera huit téléphones en dix ans.

Dans l’ordre, avec quelques souvenirs :
  • Nokia 5110 (gros et lourd, mais quelle solidité et quel confort d’utilisation !) ;
  • Nokia 3210 (aboutissement en terme de design, mais trop vite cassé…) ;
  • Alcatel One Touch 511 (minuscule, léger et convivial, mais trop aussi fragile) ;
  • Siemens S25 (beaucoup de fonctions et une interface accessible, mais une antenne trop présente) ;
  • Sony Ericsson P800 (retour du système des Psion sur un grand écran couleur et tactile) ;
  • Sony Ericsson P990i (énormément de fonctions, mais avec une interface beaucoup trop lourde) ;
  • Nokia E61i (les e-mails et le Web en permanence avec Gmail for mobile et Opera Mini, et quelle solidité !) ;
  • Apple iPhone 3G (que j’achèterai donc bientôt, malgré l’absence d’enregistrement vidéo).

Mise à jour (septembre 2008) : je n’ai pas encore acheté l’iPhone 3G, je détaile ce choix ici. 
Mise à jour (novembre 2008) : j’ai finalement acheté l’iPhone 3G, je dis pourquoi ici.
Mise à jour (août 2009) : j’ai acheté l’iPhone 3GS à sa sortie, j’en parle ici.
Mise à jour (juin 2010) : iPhone 4.
Mise à jour (octobre 2011) : commande de l’iPhone 4S.
Mise à jour (janvier 2012) : en téléphone secondaire (en plus de plusieurs des téléphones précédents), un Samsung Galaxy Nexus.
Mise à jour (février 2012) : iPhone 4S enfin arrivé

Voici une photo d’époque du Nokia 5110 :

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