Quelques mots sur les images dans Posterous

Posterous publie les images que l'on envoie par e-mail. Par contre, cette plate-forme de blog  très sympathique ne permet pas d'ajouter facilement une image à une note déjà envoyée. Pour le faire, il faut héberger l'image ailleurs et éditer le code HTML de la note pour afficher l'image. Il me semble que cela n'est pas vraiment dans l'esprit Posterous… Donc, j'imagine que cela va vite changer !

En attendant, j'ai tout de même fait ces manipulations pour ajouter une image à mes deux premières notes.

J'ai pris la photo de ma première note (un ordinateur Commodore 64) à l'occasion de la rédaction de mon premier livre sur les jeux vidéo (Émulation et jeux vidéo, paru en 2001 chez Micro Application). À cette époque, mon appareil photo numérique était en panne, tout comme mon appareil argentique. J'avais donc fait cette photo (comme toutes celle du livre) avec le mode photo de mon camescope. Cela explique le rendu médiocre de l'image.

Tiens… La photo illustrant ma troisième note dans Posterous (un téléphone Nokia 5110) a été prise avant que l'appareil photo numérique en question ne tombe en panne. La différence de qualité est nette, mais on voit clairement le vignettage (les coins assombris).

Voici un aperçu des images de mes six premières notes dans Posterous :

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Impressions sur le téléviseur Philips 47PFL5603H

Je profite de la HD dans mon salon depuis pas mal de temps, mais via un moniteur Apple Cinema Display dont la diagonale est loin d’atteindre les grandes tailles des téléviseurs actuels. Alors, j’ai voulu profiter de la victoire des disques Blu-ray sur le HD DVD et de l’arrivée d’un nouveau modèle de PlayStation 3 fin août pour renouveler mon équipement. Tout a bien commencé puisque mes critères de choix m’ont conduit vers un seul modèle (en tout cas chez mon fournisseur).

Les critères étaient :
  • 1080p ;
  • écran mat ;
  • pied pivotant ;
  • tuner TNT HD ;
  • temps de réponse rapide ;
  • taille supérieure ou égale à 46″ ;
  • rapport qualité/prix bien noté dans la presse.

Et je n’avais pas besoin des caractéristiques suivantes :
  • entrée VGA ;
  • finesse extrême ;
  • disque dur intégré ;
  • système Ambilight ;
  • technologie 100 Hz.

Cela m’a conduit directement au Philips 47PFL5603H. Et voici mes impressions après quelques heures de test… 

L’aspect visuel est agréable. En particulier : on ne voit pas les enceintes (que je n’utilise pas). La télécommande a l’avantage d’être assez petite et simple, mais elle doit vraiment viser son capteur pour que le téléviseur s’exécute. Les menus sont efficaces : on y trouve assez rapidement ce que l’on cherche. Après avoir désactivé de nombreuses options d’affichage (surtout l’accentuation de la netteté), l’image est splendide. Par contre, il faut être plutôt en face. Si l’on est un peu sur le côté, on pourra profiter du pied pivotant pour finalement se retrouver vraiment en face. En tout cas, l’aspect mat de l’écran atténue les reflets de manière tout à fait convaincante. En faisant les branchements, je tombe sur une sortie SPDIF (donc le son numérique). Bonne surprise : je m’empresse de la brancher sur mon ampli. Je vois aussi une prise USB. Elle devrait m’être utile quand quelqu’un passe à la maison avec une carte mémoire pleine de photos à visionner rapidement.

En attendant, je branche sur le téléviseur un Mac portable en HDMI grâce à un câble DVI/HDMI, un récepteur satellite et une PlayStation 2 grâce à des prises Péritel et un camescope en HDMI. J’attrape une cassette HDV et j’appuie sur la touche de lecture… Les premiers pas de ma fille comme je ne les avais jamais vus… La taille de l’écran y est pour beaucoup : les détails prennent vie, servis par une luminosité, un contraste et des couleurs qui montrent clairement leur présence. J’enchaîne avec l’une de mes captations de concerts… Ah, ce soir-là, quel bel éclairage… Je bascule vers le Mac et je lui fais diffuser un film en 1 920 sur 800 pixels : tout juste impeccable ! Pour les signaux vidéo parvenant au téléviseur par les prises Péritel, il faut quand même que je me recule légèrement de l’écran puisque là, on est en SD (576 lignes maximum). Là encore, je suis impressionné. L’image est propre, à mon goût (donc après avoir désactivé pas mal de choses).

Dans l’idée de pousser le test un peu plus loin, je branche ma sonde de calibration et j’obtiens un profil de couleurs intéressant : le résultat est moins contrasté, mais les couleurs sont très proches. Je baisserai donc le contraste plus tard. Je termine par la mise à jour via une clé USB et un ordinateur connecté à Internet. La manœuvre est simple. Mais malheureusement, le téléviseur ne détecte pas les fichiers de mise à jour. J’essayerai à nouveau plus tard…

Le bilan est donc très positif dans l’ensemble. Le Philips 47PFL5603H répond tout à fait à mes besoins actuels et ceux à venir dans un futur proche (jouer à la PS3 et à la Wii pas seulement chez des amis et visionner des disques Blu-ray). Par ailleurs, ses quelques inconvénients sont mineurs pour moi. Alors, si vos besoins sont similaires et que vous cherchez aussi un téléviseurs, n’hésitez pas !

Mise à jour : j’ai essayé à nouveau d’appliquer la mise à jour et cette fois-ci, c’est passé. Cela règle un problème important : la désactivation du contraste dynamique n’était pas pris en compte. Maintenant, sans contraste dynamique, le rendu de l’image est stable et le téléviseur correspond vraiment à ce que cherchais.

Et voici une petite photo de la base de ce téléviseur Philips 47PFL5603H :

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Défis avec Lumines et Tetris

Je glissais dans ma note précédente une copie d’écran du jeu vidéo Lumines : une fin de partie en mode contre-la-montre en 60 secondes. Résultats : 61 points. L’idée était de faire plus d’un point par seconde. Ça me rappelle un autre défi, avec Tetris cette fois-ci : ne faire que des coups nommés Tetris (quatre lignes d’un seul coup) en mode B, niveau 8. Résultat : sept Tetris pour un score final de 76 164. Lumines et Tetris sont deux jeux desquels on peut avoir du mal à décrocher. Ce genre de défi donne un objectif supplémentaire vis-à-vis du jeu, au-delà du but initial qui peut être moins précis. Quand cet objectif est atteint, on peut ressentir un sentiment d’accomplissement suffisant pour passer à un autre jeu. Le problème avec ces deux jeux-là, c’est que cela n’a pas fonctionné pour moi puisque d’autres défis ont suivi : dépasser 90 points à Lumines et commencer au niveau 9 du mode B dans Tetris

Voici la copie d’écran d’une fin de partie de Tetris en mode B, niveau 8 :

Tetris

Je continue à jouer sur PSP à des jeux d’action/réflexion

Je joue à différents types de jeux vidéo sur plusieurs plates-formes, mais c’est sur PSP que je passe le plus de temps, surtout avec des jeux d’action/réflexion et en particulier avec les jeux suivants (dans l’ordre chronologique) :

  • Lumines (simplement regrouper des blocs colorés, mais il faut beaucoup de volonté pour arrêter…) ;
  • LocoRoco (simplement manger des baies, mais dans un univers très mignon et avec un spectacle impressionnant) ;
  • Exit (sauver des personnes en danger, pas facile, mais avec heureusement un gameplay très riche) ;
  • Crush (trouver la sortie dans des niveaux en 3D tout en profitant de la 2D, début un peu lourd mais suite très prenante) ;
  • Echochrome (terminer des casse-têtes en 3D simpliste en utilisant des règles basées sur l’affichage en 2D, original !).

Voici la copie d’écran d’une fin de partie en mode contre-la-montre en 60 secondes 😉

Lumines

Parcours en téléphonie mobile depuis 1998

En attendant la disponibilité de l’iPhone 3G, j’ai fait un petit compte… J’ai commencé à m’équiper en téléphonie mobile en 1998, date de mon premier contrat de travail à durée indéterminée. Lorsque que j’aurai acheté l’iPhone 3G, ça fera huit téléphones en dix ans.

Dans l’ordre, avec quelques souvenirs :
  • Nokia 5110 (gros et lourd, mais quelle solidité et quel confort d’utilisation !) ;
  • Nokia 3210 (aboutissement en terme de design, mais trop vite cassé…) ;
  • Alcatel One Touch 511 (minuscule, léger et convivial, mais trop aussi fragile) ;
  • Siemens S25 (beaucoup de fonctions et une interface accessible, mais une antenne trop présente) ;
  • Sony Ericsson P800 (retour du système des Psion sur un grand écran couleur et tactile) ;
  • Sony Ericsson P990i (énormément de fonctions, mais avec une interface beaucoup trop lourde) ;
  • Nokia E61i (les e-mails et le Web en permanence avec Gmail for mobile et Opera Mini, et quelle solidité !) ;
  • Apple iPhone 3G (que j’achèterai donc bientôt, malgré l’absence d’enregistrement vidéo).

Mise à jour (septembre 2008) : je n’ai pas encore acheté l’iPhone 3G, je détaile ce choix ici. 
Mise à jour (novembre 2008) : j’ai finalement acheté l’iPhone 3G, je dis pourquoi ici.
Mise à jour (août 2009) : j’ai acheté l’iPhone 3GS à sa sortie, j’en parle ici.
Mise à jour (juin 2010) : iPhone 4.
Mise à jour (octobre 2011) : commande de l’iPhone 4S.
Mise à jour (janvier 2012) : en téléphone secondaire (en plus de plusieurs des téléphones précédents), un Samsung Galaxy Nexus.
Mise à jour (février 2012) : iPhone 4S enfin arrivé

Voici une photo d’époque du Nokia 5110 :

5110

Deuxième phase du test de Posterous

J’ai vu sur Twitter que Pierre Journel testait aussi Posterous, alors je lui ai répondu que je l’avais aussi testé un peu. Ensuite, il s’est abonné à mon blog Posterous et je me suis donc abonné au sien. Maintenant, j’espère qu’il y écrira un peu plus… Du coup, j’ai vu que Posterous proposait de poster automatiquement vers d’autres services. J’ai configuré Posterous pour Twitter et un lien vers ceci devrait donc se retrouver dans Twitter…

Voici une copie d’écran d’une partie de la discussion en question sur Twitter :

Mise à jour : je mets quelques compléments dans les commentaires.

Du Minitel à différentes formes de blogs…

J’avais régulièrement les mains sur un clavier dans les années 80. Alors quand le Minitel est arrivé, j’ai rapidement été amené à le brancher sur un ordinateur et à programmer des serveurs. C’était très ludique. Les téléchargements étaient aussi possibles, mais interminables… En 1993, j’étais étudiant en informatique à Lille et Mosaic nous permettait de découvrir les premiers sites Web. On faisait surtout pas mal de programmation réseau et on abusait un peu des serveurs FTP… La première version de mon site Web personnel date de 1995, alors que je faisais mes études d’ingénieur à l’UTC. Je travaillais par ailleurs sur quelques autres sites statiques ou dynamiques (on faisait bien la distinction à cette époque-là). Cela a aussi été l’occasion de développer pas mal d’applications Web. De 1997 à 2003, j’ai diffusé une synthèse de l’actualité orientée vers le numérique sur Niksnews.com. Au début, les plates-formes de blog que l’on connaît aujourd’hui n’existaient pas. Par contre, quand en 2005, j’ai lancé RendezVousCreation.org (Partageons nos expériences de création), je me suis naturellement tourné vers ces technologies. Et puis, en 2007, Twitter est arrivé et j’ai commencé à tester l’idée du microblogging. Tiens, me voici sur Posterous… Voici une photo du Commodore 64 sur lequel j’ai passé pas mal de temps dans les années 80 :