Mon/mes choix parmi les clients Twitter pour iPhone et Mac OS X

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Le nombre de clients Twitter pour iPhone est assez impressionnant : des dizaines. Voici un petit résumé de mes passages d’un client Twitter à un autre, sur iPhone et sur mon ordinateur. Ce petit résumé sera suivi d’un point sur les fonctions importantes pour moi, pour la consultation d’une part, et pour la rédaction d’autre part.

Comme j’utilisais Twitterrific sur mon ordinateur, j’ai commencé par Twitterrific aussi sur iPhone. C’était assez agréable : très simple et élégant. À ce moment-là, j’avais essayé d’autres clients Twitter, par exemple TwitterFon, mais sans être vraiment convaincu. Jusqu’au jour où je suis passé à Tweetie, une application dotée de nombreuses fonctions et d’une interface vraiment efficace. Du coup, je suis aussi passé à Tweetie sur mon ordinateur, notamment pour bénéficier du suivi des conversations. C’est alors que Twitterrific a été mis à jour sur iPhone : une interface toujours simple et élégante, mais avec cette fois-ci beaucoup plus de fonctions, par exemple l’intégration du service Instapaper pour remettre la lecture de certaines pages à plus tard. La version pour ordinateur n’a par contre pas évolué en parallèle. J’aurais pu m’orienter vers des clients multicolonne comme TweetDeck ou Seesmic Desktop, mais ils ne correspondaient pas à mes usages : je n’utilisais pas vraiment leurs principaux atouts et je n’y trouvais pas des fonctions importantes pour moi. Alors je suis resté sur Tweetie, et j’y suis encore, sur mon ordinateur. Sur iPhone, j’ai continué à tester pas mal de clients Twitter comme Nambu et Reportage. Je suis même revenu vers TwitterFon qui s’était largement enrichi en fonctionnalités entre temps. Et puis l’iPhone 3G S est arrivé et Twitterlator (voir illustration) a proposé des fonctions d’enregistrement de sons et de vidéos, ce que j’ai rapidement voulu essayer. J’ai pu constater que Twitterlator proposait par ailleurs une grande richesse fonctionnelle, derrière une interface pas forcément très plaisante. Alors voilà, je me retrouve avec quatre clients Twitter sur mon iPhone : Twitterrific, Tweetie, TwitterFon Pro et Twitterlator…

Voici les fonctions que j’apprécie particulièrement dans ces applications, tout d’abord pour la consultation :
  • proposer une interface simple et élégante (Twittelator est en retrait sur ce point) ;
  • proposer un cache des tweets pour ne pas avoir les télécharger tous au lancement de l’application (Tweetie ne le fait pas) ;
  • mettre en évidence les différences entre les tweets : où l’on est cité, dont on est l’auteur, ou autres (très clair avec Tweetie) ;
  • afficher une vignette quand le tweet contient un lien vers une image (comme Twittelator) ;
  • afficher la conversation liée à un tweet (les quatre clients Twitter dont je parle le font) ;
  • marquer certains tweets pour revenir dessus facilement plus tard (très simple avec Twitterrific) ;
  • permettre l’ajout d’un lien à Instapaper avant même d’accéder au site (comme Twittelator).
Et maintenant pour la rédaction :
  • lancer la rédaction d’un tweet depuis Safari en reprenant l’URL (les quatre le font) ;
  • réduire les URL via bit.ly de manière authentifiée (comme TwitterFon Pro) ;
  • permettre la réduction des URL lors de la saisie (comme Twitterific et Twittelator) ;
  • permettre le partage de photos via TwitPic en mettant le texte du tweet comme description de l’image (ce que fait Twittelator) ;
  • permettre le partage de sons et de vidéos (comme Twittelator, à qui il manque juste la possibilité de partager un son déjà enregistré).
Pour finir, deux des fonctions qui me manquent… 1. À l’arrivée de nouveaux tweets, une notification qui utiliserait le mode push de l’iPhone. 2. Une synchronisation en continu concernant l’état des tweets (lus ou non lus, marqués ou non) entre le client Twitter sur l’iPhone et celui sur l’ordinateur.

Au fait, mon compte Twitter est ici. Et actuellement, je l’alimente principalement avec Twittelator sur iPhone et Tweetie sous Mac OS X.

Mise à jour (novembre 2009) : TwitterFon Pro est devenu Echofon Pro. Ce client Twitter est aussi disponible sur Mac et propose la synchronisation des éléments non lus. Comme cette application dispose par ailleurs de presque toutes les fonctions dont j’ai besoin, je l’ai adoptée, donc à la fois sur iPhone et sous Mac OS X. Pour les notifications sur iPhone, j’ai testé plusieurs services. J’utilise actuellement Boxcar.

Facebook et les commentaires

Depuis un certain temps, j'ai remarqué que j'avais moins de commentaires sur RendezVousCreation.org. Et parallèlement, j'ai noté que j'en avais de plus en plus sur Facebook. Donc facebook attire l'audience, mais déplace aussi les commentaires quand le contenu d'un blog y est publié.

Prenons l'exemple de la dernière vidéo que j'ai mise en ligne (voir copies d'écrans ci-dessous)… Sur RendezVousCreation.org, j'ai trois commentaires, dont un qui est une correction, donc deux en fait. Alors que sur Facebook, j'ai neuf commentaires, dont deux réponses de moi, donc sept en fait. Sans Facebook, je n'aurais peut-être pas eu neuf commentaires en tout, mais j'en aurais sûrement eu plus de deux sur RendezVousCreation.org.

Alors je me pose une question : en l'absence de mécanisme de centralisation des commentaires, est-ce que j'ajoute sur RendezVousCreation.org des liens vers les pages de Facebook qui contiennent des commentaires ? Sur l'exemple que je viens d'évoquer, ça donnerait quelque chose comme : « Vous pouvez déposer un commentaire ici et consulter ceux laissés sur Facebook. » Mais cela risque d'amplifier la fuite des commentaires vers Facebook. Qu'en pensez-vous ?

P-S 1 : pour compliquer le problème, j'ai aussi des commentaires éparpillés sur MySpace, Dailymotion, FriendFeed, etc.

P-S 2 : je n'en suis pas encore à vouloir laisser tomber la plate-forme Blogger au profit de Facebook…

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Les débuts du Web grand public vus du côté d’un fournisseur d’accès à Internet

Suite à certains souhaits émis par des lecteurs de ce blog dans les commentaires de mes dernières notes, me voici en train d’aborder un autre sujet fortement axé sur l’informatique… Les débuts du Web grand public vus du côté d’un fournisseur d’accès à Internet (FAI). Je glisse vers ce thème puisqu’à partir du milieu des années 90, j’ai commencé à collaborer avec un FAI qui se lançait. Avant cet épisode, j’avais participé à des travaux de la même entreprise dans le monde du Minitel…

Être fournisseur d’accès à Internet, c’était au départ : louer une ligne spécialisée de 64 kb/s et en distribuer le débit sur quelques modems (voir illustration ci-dessous). Un Power Macintosh Workgroup Server 9650 d’Apple, qui tournait sous Mac OS 8.0, cumulait presque tous les rôles (je mets entre parenthèses le nom des logiciels utilisés) : serveur HTTP (WebSTAR, accompagné de MacPerl), serveur de messagerie (EIMS), serveur FTP (FTPd) et serveur DNS (QuickDNS Pro Server). Étaient aussi installés sur ce Mac : AppleShare IP (pour étendre Mac OS au niveau du partage de fichiers) et Timbuktu (pour l’administration à distance). Ça fonctionnait drôlement bien !

La collaboration s’est faite au départ sur la réalisation et la refonte de plusieurs sites Web statiques. Cela concernait des entreprises et des institutions locales. J’écrivais les pages HTML dans un simple éditeur de texte et j’y ajoutais un peu de code JavaScript, surtout pour la gestion des images dans les menus. Je faisais aussi des animations au format GIF, c’était très tendance à l’époque 😉

Un peu plus technique : j’avais réalisé une visite virtuelle d’une ville avec la technologie QuickTime VR, donc avec une navigation au sein de photos panoramiques. J’étais loin de bénéficier de l’environnement technique idéal : je n’avais qu’un appareil photo numérique Apple QuickTake 150 datant de 1995, sans trépied, et ne proposant aucun réglage. De plus, toute la chaîne de production était manuelle : il n’y avait pas d’outils pour coller les images et générer des fichiers au format QuickTime VR. J’avais donc passé de nombreuses heures devant Photoshop : collage, harmonisation de la luminosité, du contraste et des couleurs, et correction des jonctions. La qualité du résultat n’était pas vraiment au rendez-vous, mais l’expérience était intéressante…

J’avais aussi développé le prototype d’une application Web de réception et d’envoi d’e-mails (POP et SMTP). C’était encourageant, mais une solution existante et gratuite répondait déjà bien au besoin : EMUmail.

À partir du début de l’année 1998, la collaboration s’est intensifiée. La ligne spécialisée avait été complétée par une réception par satellite à 512 kb/s (puis 2 Mb/s) et la connexion des abonnés se faisait via des lignes Numéris ou un boîtier 3COM à 56 kb/s, vitesse qui n’avait pas encore été normalisée. En plus du Mac, trois serveurs étaient présents, l’un sous Linux et les deux autres sous Windows NT Server 4.0. Sur l’un des PC sous Windows, il y avait : Apache pour le Web (accompagné de Perl et PHP), War FTP Daemon comme serveur FTP, Spaghetti Proxy Server pour le cache, Omni-NFS comme serveur DNS et EMUmail comme passerelle pour les e-mails. Sur l’autre (que j’avais assemblé et installé) : War FTP Daemon comme serveur FTP, Internet Infomation Server pour le Web et quelques autres technologies de Microsoft pour les sites dynamiques en ASP (InterDev, FrontPage et Access).

Les tâches d’administration étaient assez standards : maintenance des serveurs, traitement des pannes, gestion des utilisateurs, mise en place des sites Web, mise à jour de ces sites, surveillance des onduleurs et gestion des sauvegardes sur bandes et cartouches. Un nouvel abonnement était l’occasion d’enchaîner plusieurs actions : création du compte, création d’une ou des adresses e-mail et ouverture d’un espace Web. Et pour la mise en place d’un site Web, il fallait : enregistrer un ou des noms de domaines (auprès de l’InterNIC, 70 $ pour deux ans), en récupérer la gestion DNS (par le biais de nombreux échanges d’e-mails), créer la table de routage dans les serveurs DNS, ouvrir l’espace Web et transférer les données.

Je répondais également au téléphone : clients, fournisseurs, etc. Il y avait parfois des problèmes simples à régler à propos des connexions, mais j’ai aussi eu quelques conversations surréalistes. Je me souviens de l’une d’entre elles en particulier : j’avais dû expliquer à un employé de France Télécom où trouver la touche @ sur son clavier afin qu’il puisse m’envoyer un e-mail…

Avant de travailler sur un site Web plus conséquent que les autres (prochain paragraphe), j’ai fait principalement deux types de développements : du code pour le traitement de formulaires et des applications Web. La première application, GenIndex, était un outil de référencement multiple. À partir de données saisies dans un formulaire, GenIndex référençait un site Web sur une petite quinzaine de moteurs de recherche. Google ne figurait pas dans la liste des moteurs, car je parle là d’un temps où Google Inc. (qui date de septembre 1998) n’existait pas encore ! La seconde application, Symade, était un petit système de gestion de contenu. À partir d’une page d’accueil, l’administrateur pouvait ajouter des pages Web simples dont il définissait le contenu. Là encore, je parle d’un temps où… 😉

L’une des plus grosses réalisations que j’ai faites pendant cette période était le site Web d’un grand groupe. Ce groupe disposait d’une charte graphique assez élégante et j’avais pris plaisir à la décliner pour le Web. Outre les rubriques standards que l’on retrouvait à ce moment-là sur la plupart des sites, il fallait intégrer une grosse base de données sur les produits du groupe et proposer une fonction de recherche dans ce catalogue. Une contrainte : utiliser les technologies de Microsoft. Donc, souvenir déplaisant : l’installation et l’utilisation des produits Microsoft (installations laborieuses, redémarrages multiples, incompatibilités logicielles et matérielles, interdépendance des logiciels, lourdeurs, plantages, lacunes fonctionnelles, etc.). Souvenir agréable : l’accueil d’un stagiaire et sa formation aux différentes pratiques de l’entreprise. Il venait aussi de l’UTC et il a repris mon travail quand je suis parti faire de la recherche dans le privé.

Voici une photo de quelques modems distribuant le débit d’une ligne spécialisée (photo prise à l’époque avec un appareil photo numérique Apple QuickTake 150 datant de 1995) :

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Je vais continuer un blog personnel sur Posterous

Posterous est une plate-forme de blog ultra simple. On publie sur son blog (qui peut être un podcast) en envoyant des e-mails (contenant éventuellement images, sons et vidéos) ou des SMS. On reçoit par e-mail une copie des commentaires… Auxquels on peut répondre par e-mail. J'aime beaucoup cette approche, notamment parce qu'ainsi, le contenu (notes et commentaires) n'est pas seulement sur le Web : il en existe un double dans la messagerie (par contre, on ne reçoit pas encore de copie d'une note que l'on aurait modifiée sur Posterous.com après son envoi).

J'ai découvert Posterous sur TechCrunch fin juin et j'ai tout de suite commencé à tester cette plate-forme de blog. Ensuite, les vacances… Et en août, quelques-uns de mes contacts se sont aussi lancés dans un test. Cela a été l'occasion d'essayer les nouvelles fonctions apparues entre temps et de me demander si j'allais continuer un blog personnel sur Posterous.

Je me suis donc abonné, au sein de Posterous, aux blogs de mes contacts et au blog officiel de Posterous. Cela se fait en un clic quand on est connecté sur un blog. On peut ensuite consulter une page où sont regroupées les notes des différents abonnements. Mais on peut aussi ajouter l'adresse du fil RSS de ces abonnements dans son lecteur RSS. Un seul fil pour tous les abonnements, ça peut être pratique. Évidemment, il y a aussi un fil RSS pour chaque blog. Posterous permet également de publier le contenu envoyé sur d'autres plates-formes (Twitter, Flickr, Tumblr, Blogger, Wordpress, Movable Type, Typepad, Livejournal et Xanga). J'utilise cela pour Twitter.

Alors, j'ai envoyé quelques notes sur divers sujets. Me sentant à l'aise dans ce système efficace, je me suis posé cette question : « Que me manque-t-il pour faire de ce début de blog Posterous mon blog personnel ? » La réponse : la gestion de mon nom de domaine, comme sait le faire Blogger (par exemple, www.RendezVousCreation.org est géré par Blogger). Et là… Les développeurs de Posterous annoncent la disponibilité de cette fonction ! Dans la foulée, je dépose BlogNico.com et, après la configuration de mon domaine et de Posterous, ça fonctionne. Donc, je vais continuer ce blog personnel sur Posterous.

Bien sûr, cette plate-forme est très jeune et je suis preneur de quelques fonctionnalités supplémentaires :
  • l'intégration de FeedBurner pour la gestion du fill RSS ;
  • la gestion des catégories de notes ;
  • la personnalisation du thème graphique ;
  • la possibilité d'ajouter des images de manière simple quand on édite une note après l'avoir envoyée ;
  • l'encodage correct des titres envoyés vers Twitter (il y a effectivement un petit souci à ce niveau-là actuellement, mais développeurs m'ont dit y travailler…) ;
  • la recherche par mots clés au sein d'un blog ;
  • l'envoi par e-mail d'une copie d'une note que l'on aurait modifiée sur Posterous.com.

Voici une copie d'écran de la configuration de mon blog personnel sur Posterous :

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Quelques mots sur les images dans Posterous

Posterous publie les images que l'on envoie par e-mail. Par contre, cette plate-forme de blog  très sympathique ne permet pas d'ajouter facilement une image à une note déjà envoyée. Pour le faire, il faut héberger l'image ailleurs et éditer le code HTML de la note pour afficher l'image. Il me semble que cela n'est pas vraiment dans l'esprit Posterous… Donc, j'imagine que cela va vite changer !

En attendant, j'ai tout de même fait ces manipulations pour ajouter une image à mes deux premières notes.

J'ai pris la photo de ma première note (un ordinateur Commodore 64) à l'occasion de la rédaction de mon premier livre sur les jeux vidéo (Émulation et jeux vidéo, paru en 2001 chez Micro Application). À cette époque, mon appareil photo numérique était en panne, tout comme mon appareil argentique. J'avais donc fait cette photo (comme toutes celle du livre) avec le mode photo de mon camescope. Cela explique le rendu médiocre de l'image.

Tiens… La photo illustrant ma troisième note dans Posterous (un téléphone Nokia 5110) a été prise avant que l'appareil photo numérique en question ne tombe en panne. La différence de qualité est nette, mais on voit clairement le vignettage (les coins assombris).

Voici un aperçu des images de mes six premières notes dans Posterous :

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Deuxième phase du test de Posterous

J’ai vu sur Twitter que Pierre Journel testait aussi Posterous, alors je lui ai répondu que je l’avais aussi testé un peu. Ensuite, il s’est abonné à mon blog Posterous et je me suis donc abonné au sien. Maintenant, j’espère qu’il y écrira un peu plus… Du coup, j’ai vu que Posterous proposait de poster automatiquement vers d’autres services. J’ai configuré Posterous pour Twitter et un lien vers ceci devrait donc se retrouver dans Twitter…

Voici une copie d’écran d’une partie de la discussion en question sur Twitter :

Mise à jour : je mets quelques compléments dans les commentaires.

Du Minitel à différentes formes de blogs…

J’avais régulièrement les mains sur un clavier dans les années 80. Alors quand le Minitel est arrivé, j’ai rapidement été amené à le brancher sur un ordinateur et à programmer des serveurs. C’était très ludique. Les téléchargements étaient aussi possibles, mais interminables… En 1993, j’étais étudiant en informatique à Lille et Mosaic nous permettait de découvrir les premiers sites Web. On faisait surtout pas mal de programmation réseau et on abusait un peu des serveurs FTP… La première version de mon site Web personnel date de 1995, alors que je faisais mes études d’ingénieur à l’UTC. Je travaillais par ailleurs sur quelques autres sites statiques ou dynamiques (on faisait bien la distinction à cette époque-là). Cela a aussi été l’occasion de développer pas mal d’applications Web. De 1997 à 2003, j’ai diffusé une synthèse de l’actualité orientée vers le numérique sur Niksnews.com. Au début, les plates-formes de blog que l’on connaît aujourd’hui n’existaient pas. Par contre, quand en 2005, j’ai lancé RendezVousCreation.org (Partageons nos expériences de création), je me suis naturellement tourné vers ces technologies. Et puis, en 2007, Twitter est arrivé et j’ai commencé à tester l’idée du microblogging. Tiens, me voici sur Posterous… Voici une photo du Commodore 64 sur lequel j’ai passé pas mal de temps dans les années 80 :